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samedi 31 décembre 2011

Le mot de la fin

Pour avoir le sentiment de communiquer, chose qui est de moins en moins possible dans mon quotidien professionnel, j’ai créé ce blog comme un lien de partage et de dialogue. En fait, je m’aperçois que je ne fais que consommer du « temps numérique » pour avoir encore le sentiment d’exister dans ce domaine de la com’. Choses vaines sur le plan personnel et professionnel, puisqu'en complète reconversion subie par mon employeur… Dois-je changer de métier, d’aspirations ? Ces questions me taraudent souvent, voire quotidiennement depuis la prise d’un nouveau poste en secrétariat, uniquement pour raison « alimentaire ». Et oui, en l’espace de 10 ans, l’emploi a remplacé le métier. Cela est un autre débat… sur les politiques actuelles et les changements socioprofessionnels.

Et plus récemment, un constat : les blogs sur des thèmes sérieux ont du mal à trouver leurs auditeurs. Ces derniers préférant de thèmes de bas étages ou pour auditeurs lobotomisés !

Aujourd’hui, ce blog s’arrête car à l’évidence il ne répond pas à un besoin ou à une attente d’autrui.
A un tournent de ma vie, l’arrêt de ce blog n’en est qu’une partie. Les deux années passées à le tenir, auront été néanmoins riches de recherches et de contacts. De plus, la veille sur des techniques liées aux nouvelles technologies de l'information et de la communication, en perpétuelle évolution, est une source sans fin. Donc à un moment où à un autre, il faut savoir poser la plume sur ce thème pour aller puiser d’autres aspirations et se tourner vers de nouvelles expériences. Le bénévolat en communication à destination d'associations, me permet non seulement de relever de nouveaux défis, mais surtout de développer de meilleurs liens sociaux dans des domaines différents.

Sur ces derniers mots, je vous souhaite le traditionnel vœu de bonnes fêtes de fin d’année.

Ce n’est qu’un au revoir,
A bientôt, par ailleurs…

Krystel

vendredi 30 décembre 2011

Plan France Numérique 2020

Selon le Groupement des éditeurs de services en ligne (Geste), le modèle dominant qui finance les contenus numériques par des revenus publicitaires fait courir, à terme, un risque sur la pluralité de l’information. Aussi, le Geste contribue à la consultation mise en place par le gouvernement du Plan France Numérique 2020. Ce plan est destiné à élaborer la nouvelle stratégie de la France pour le numérique pour la période 2012-2020. Sur le site gouvernemental, les premiers éléments du projet mis en place lors de la consultation des Assises du numérique.

jeudi 29 décembre 2011

Creative Commons

Rôle et propositions des Creative Commons
Les Creative Commons méritent une attention particulière du fait qu’ils proposent une solution alternative légale aux personnes ne souhaitant pas protéger leurs œuvres en utilisant les droits de propriété intellectuelle standards de leur pays, jugés trop restrictifs. Basés sur le consentement explicite de l’auteur, ils s’inscrivent dans une logique économique radicalement opposée à celle des réseaux P2P, dans lesquels des biens produits en économie de marché sont transférés dans le monde du don sans l’accord de leurs créateurs. Pour l’internaute cependant, derrière cette pluralité de modèles fondamentalement différents, une même apparence : des contenus offerts gratuitement.

lundi 26 décembre 2011

Les nouvelles convergences

Parce que l’accès à Internet est de plus en plus illimité, tout semble gratuit : la télévision de rattrapage, les moteurs de recherche, la presse en ligne, la musique, les jeux vidéo et les expériences communautaires. [Lire la suite]

En bref

Le business Apple
En marge du système de la gratuité financée par la publicité sur Internet, les initiatives se multiplient dans l’univers payant. Apple, en couplant la commercialisation de l’iPod, son lecteur audio, au site de téléchargement de musique iTunes, est parvenu à imposer l’idée que la musique peut être achetée moyennant une tarification simple et un prix unique du titre. Le quotidien France Soir dresse un bilan des activités commerciales de la firme.

vendredi 23 décembre 2011

Le droit à l’oubli numérique

En septembre 2010, dix associations professionnelles, sous l’égide de l’Union française du marketing direct (UFMD), ont signé avec la secrétariat à l’Economie numérique une charte sur le « droit à l’oubli numérique » dans la publicité ciblée ou géolocalisée, sur les blogs et les réseaux sociaux. Toutefois cette charte est symbolique, car elle n'a cependant aucune valeur juridique. Mais la directive européenne du 25 novembre 2009, a été transposée en droit français le 24 août 2011, dans le chapitre II de cette ordonnance, le gouvernement modifie notamment le code de la consommation, et la loi pour la confiance dans l'économie numérique et la loi relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.

Reportage

Au Pays de Facebook
Le Journal du Net a visité les locaux de Facebook en Californie, où travaillent les employés du site aux 800 millions de membres. Fin 2010, Facebook comptait 1 400 employés dans la Silicon Valley et affichait vouloir accroître ses effectifs de 50 % en 2011. La direction du réseau social a par conséquent décidé de quitter Palo Alto où il était installé depuis mai 2009. La société prendra donc ses quartiers dans un campus situé à Menlo Park Est, une vaste zone industrielle de la baie de San Francisco. Le nouveau campus de Facebook pourra accueillir plus de 3 600 personnes.

Facebook est un produit marketing, qui cherche depuis sa création à faire de l’argent avec les entreprises et leurs marques. L’année dernière, le film « The Social Network » a passionné le public, que l’on soit ou non adepte du réseau social.

mercredi 21 décembre 2011

Le coût amer du gratuit

C’est sans doute parce qu’une idéologie du gratuit s’est diffusée ces dernières années chez les plus jeunes, peu ou pas accoutumés à payer pour des contenus, qu’ils ont pris l’habitude d’acquérir en ligne sans payer. Mais le phénomène va bien au-delà et est chargé d’ambiguïté. [Lire la suite]

Antitrust

Tout ce que Bruxelles veut savoir sur Google
La Commission européenne a commencé à interroger les poids lourds du Web de l'UE sur les pratiques de Google. Le Journal du Net analyse l'intégralité des questions posées par Bruxelles et vous propose de les télécharger en intégralité en version PDF.

dimanche 18 décembre 2011

En librairie

Le e-marketing à l’heure du web 2.0

Dans son ouvrage "Le e-marketing à l'heure du web 2.0", paru aux Editions Gualino, Catherine Viot aborde de manière claire, structurée et accessible les principales problématiques qui se posent aux commerçants en ligne et aux créateurs de sites de e-commerce, qu'il s'agisse de vendeurs purement Internet ou d'entreprises industrielles ou de la distribution à l'heure du e-marketing web 2.0. Un livre pour bien comprendre et maîtriser ces nouveaux outils qui sont devenus de véritables vecteurs de communication, indispensables pour toute entreprise soucieuse d'accroître sa visibilité sur Internet.

Segmentation du public

L’utopie de la démocratie
En quelques années, les évolutions technologiques ont profondément modifié le rapport des usagers aux médias et, au delà de ce domaine, la manière dont nous envisageons le lien social. L’abondance démocratique offerte par les réseaux sociaux vient à point pour résoudre la question bien réelle de la place des médias dans le système démocratique. Comme le démontre Joël de Rosnay dans une interview, on observe partout dans le monde deux phénomènes qui renforcent la gravité de cette question : la chute de la crédibilité des mass médias aux yeux des usagers, et la crise économique de la presse écrite. 


vendredi 16 décembre 2011

L’épanouissement démocratique ?

Les médias, l’information, la connaissance, les contenus ont été "démocratisés" par le Web 2.0. Il y a pourtant quelque chose de troublant dans ce mariage des rêves les plus utopiques, libertaires, égalitaires et ultra-démocratiques, avec des entreprises qui sont avant tout de cotées en Bourse. Car, à ne plus en douter, le développement exponentiel des sites sociaux vaut de l’argent. [Lire la suite]

Marketing viral

Un monde sans experts
L'indice de popularité de TripAdvisor utilise des critiques d'utilisateurs, des guides de voyages, des articles de journaux ainsi que d'autres contenus internet pour déterminer le niveau de satisfaction des voyageurs dans le monde.

Un avis peut en cacher un autre
De plus en plus d’internautes recherchent l’avis d’autres consommateurs avant d’acheter. Ils étaient un sur quatre en 2005, mais un sur deux en 2009, selon le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Credoc). Depuis cette année, 90 % des internautes auraient ce réflexe, révèle un sondage réalisé en septembre par l’institut Easy Panel, auprès de 1 009 personnes représentatives. Pourtant, une majorité de ces avis seraient le fait de professionnels se faisant passer pour des particuliers. L’Express revient sur ces faux avis, postés dans le seul but de doper les ventes du commerce en ligne, devenus un réel business de faussaires.

mercredi 14 décembre 2011

Internet déteste le vide

La régulation marchande du gratuit
Le récent procès entre Deezer et Universal a contraint le fournisseur d'écoute de musique à la demande à limiter l'accès libre à cinq heures mensuelles. Dans un courrier destiné à ses fans révulsés de devoir désormais payer, la marque Deezer écrit: « nous n'avons plus les moyens de continuer à investir dans un service gratuit illimité alors que les attentes des artistes, des auteurs et des maisons de disques sont croissantes ». Cette affaire explose alors que l'Hadopi (Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet) va lancer sa campagne de communication avec, pour pierre angulaire, le label PUR (Promotion des usages responsables). Un label pour lequel Deezer est candidat. Le succès récent, en matière musicale, est résolument celui de Beezic. Il fonctionne un peu comme YouTube. En attendant le téléchargement de sa musique, l'internaute a le choix entre quatre films publicitaires qu'il doit absolument visionner (ou du moins lancer) pour aller plus loin. Internet déteste le vide. Il avance sans modèles donc sans complexe.

lundi 12 décembre 2011

Parole d’expert

Olivier Bomsel, professeur d'économie industrielle à l'Ecole des mines Paris Tech, dirige la chaire d'économie des médias et des marques. Auteur de deux ouvrages de référence sur le modèle économique du gratuit, il prédit que celui-ci va se dégrader.

Olivier Bomsel : la gratuité, c'est fini !



Un modèle économique postmoderne

Les limites du 100 % gratuit
Mediapart, fondé par des ex-journalistes du Monde, est un exemple de solution hybride, entre médias à l'ancienne avec abonnement et médias nouveaux, avec blogs, participation des lecteurs et version numérique. Dans son mémoire de fin d'étude à l'ESC Toulouse intitulé « Vous avez dit gratuit ? Combien ça rapporte ? », Jana Bonnet décrypte ce modèle économique.

samedi 10 décembre 2011

Le triomphe du gratuit

Les journaux gratuits ont connu un impressionnant succès depuis le début des années 2000 en répondant au besoin des citoyens modernes de disposer d’informations claires, rapides et gratuites. Mais le modèle économique de ces quotidiens, fondé presque exclusivement sur la publicité est vulnérable. [Lire la suite]

Bi_média

Elargir son audience
Le groupe Ouest-France a initié dès 1999 une démarche pour toucher un public de jeunes actifs recherchés par les annonceurs et qui n’est pas nécessairement lecteur de quotidiens imprimés. Le groupe de presse régional breton a lancé maville.com, un réseau de sites Internet de proximité, véritable guide urbain proposant de l’actualité, des services, des petites annonces et de la publicité à l’échelle locale. En 2007, plusieurs groupes de presse régionale se sont associés au projet. Le réseau compte désormais une quatre-vingtaine de sites et poursuit le maillage du territoire français afin d’atteindre une dimension nationale.

jeudi 8 décembre 2011

En librairie

FREE, Entrez dans l'économie du gratuit
Comment des entreprises peuvent-elles gagner de l'argent sans faire payer les consommateurs ? Une économie peut-elle se créer autour d'un prix nul ? Pourquoi la gratuité paraît-elle suspecte aux plus de 30 ans et naturelle aux jeunes ? Telles sont les questions qu'aborde ici Chris Anderson dans un livre intitulé « Free », parue en 2009 aux Editions Pearson. L’auteur il explore le concept de la gratuité « concept, écrit-il, à la fois familier et profondément mystérieux», et qui est en train de subir une véritable révolution. Polémique, érudit, ce livre explore toutes les facettes de la gratuité, des marchands de remèdes de la fin du 19e siècle, au piratage à la chinoise, de la psychologie du 18e siècle aux dernières péripéties du web. Il montre que, sans en avoir toujours bien conscience, le gratuit est déjà parmi nous.

On en parle

La mécanique de la gratuité
Ce procédé pourrait se résumer ainsi : une minorité paie pour une majorité. Ce modèle s'appelle Freemium. Il s'agit en général d'une version grand public, gratuite, couplée à une version payante, mais plus évoluée pour des secteurs bien précis. L’objectif est pourtant simple : se constituer une audience et la fidéliser en l’attirant par des contenus gratuits, pour la rentabiliser avec des revenus issus de la vente de contenus à valeur ajoutée payants. Explications par Internet Actu, site de veille sur l’innovation dans le domaine des TIC.

mardi 6 décembre 2011

Le gratuit ...

... A qui cela profite-t-il ?
Les internautes sont passés du stade de simples consommateurs au statut de contributeurs de contenus, sur des sites de partage. Lorsque ces contenus fournis gracieusement par les internautes sont exploités commercialement, cela suscite parfois des réactions épidermiques de ces mêmes contributeurs. En 2005, l’homme d’affaires dans les médias Ruper Murdoch a ainsi racheté MySpace pour 580 millions de dollars tandis que l’année suivante, Google faisait de même avec YouTube pour 1,65 milliards ! Et que dire des multiples propositions de rachat de Facebook ! En bref, ils achètent de l’audience et les données personnelles des utilisateurs, qui serviront l’efficacité de la publicité.

Le point sur Hadopi

L’Hadopi passe la seconde
La Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet est entrée dans sa deuxième phase. Plus de 600 000 mails d'avertissement ont été envoyées aux contrevenants de la Toile. Le point avec le journal 20 Minutes.

dimanche 4 décembre 2011

Gratuit ou volé ?

L’industrie du cinéma et de l’audiovisuel est en chute libre depuis plusieurs années, victime du piratage, mais plus précisément du refus de la plupart des consommateurs, et surtout des plus jeunes, de payer les prix imposés. [Lire la suite]

Enquête sur la publicité en ligne

La publicité dans les contenus
Dans une étude réalisée fin 2009 par GfK, il ressort que la France arrive en dernière position, sur 17 pays, pour la propension de ses internautes à payer des informations et contenus sur Internet. S’ils sont 75 % à utiliser Internet tous les jours, et 54 % à estimer qu’Internet a un impact positif pour la société, ils sont toujours 89 % à estimer que les contenus et informations doivent être gratuits. Un noyau dur (50 %) des internautes refuse même que ce soit la publicité, intégrée dans ces contenus qui en permette la gratuité. En comparaison, les Anglais et les Suédois acceptent à plus de 20 % de payer pour ces contenus et informations. Pragmatiques, les Américains acceptent majoritairement (57 %) la publicité dans ces contenus pour les rendre gratuits pour l’internaute.

vendredi 2 décembre 2011

Le modèle économique du web "gratuit"

Depuis quelques années, le coût de stockage informatique et de consommation de la bande passante n’ont cessé de décroître. Il s’est alors développé une pléthore d’offres qui tendent vers la gratuité totale (ou presque).

D’une certaine manière, les mondes numériques sont perçus comme synonymes de gratuité et d’abondance. On peut distinguer au moins trois ou quatre modèles économiques :
-    une version grand public couplée avec une ou plusieurs autres versions payantes mais qui offrent plus de possibilités (Flickr, Box.net)
-    un service gratuit mais qui est financé par la publicité (Facebook, MySpace)
-    une application libre mais subventionnée par les dons (Linux, Open Office)
-    des services gratuits qui renforcent l’image de marque d’une société et lui permettent d’augmenter ses parts de marché dans des produits financés par la publicité (Google)

Mais d’autres modèles économiques voient le jour comme la possibilité de payer en monnaie virtuelle, de créer des systèmes de recommandations de produits (shopping social) ou des applications interconnectées qui permettent à partir de la photo du produit d’accéder automatiquement à un comparateur de prix ou aux commentaires des autres acheteurs.

La gratuité est devenue l’un des grands principes de la société ultra-libérale. Ce discours imprègne tous les secteurs, et plus particulièrement celui des nouvelles technologies, qui en ont fait leur étendard.

mercredi 30 novembre 2011

Micro-trottoir

"Street journalism" et "citizen reporting"
Là où ils se trouvent, dans la rue ou ailleurs, les lecteurs, auditeurs ou téléspectateurs peuvent être des vigies de l’information, des témoins oculaires d’un fait pris sur le vif. Pour les rédactions en manque d’effectifs ou de budget pour dépêcher sur place des journalistes, le mobinaute constitue un relais appréciable sur le terrain. Aussi, plusieurs agences de presse ont mis à disposition des applications permettant aux internautes de publier des micro-reportages photos ou vidéo, le plus souvent réalisés à l’aide de leur téléphone portable.

Ainsi, en 2009, le quotidien gratuit 20 Minutes a lancé sur son site Web un concours intitulé « Reporter mobile » permettant de voir les photographies couvrant l’actualité envoyées par les mobinautes et de voter pour les meilleures photographies.

De son côté, la plate-forme Citizenside invite les passionnés de l’actualité, privilégiant les images jamais vues dans les médias traditionnels. On peut y vendre ses scoops, le site jouant en effet l’intermédiaire entre les utilisateurs et les médias à la condition que les documents mis en ligne soient de bonne qualité et en rapport avec l’actualité.

Et aussi

Le journalisme de rue
Avec le mobile, le journaliste ne se fait plus uniquement dans les rédactions mais dans la rue. La vidéo, qui est en peine explosion jusque sur les téléphones portables, s’impose comme l’un des principaux moyens d’information et de communication sur Internet. Du blocus de Gaza aux manifestations en Iran, en passant par les récentes révolutions du printemps arabe, jamais les témoignages en images ou en vidéos envoyés à partir d’un mobile n’ont été aussi nombreux. La visibilité que leur offre YouTube, Facebook ou encore Twitter permet aux internautes et aux mobinautes du monde entier de prendre aussitôt connaissance d’événements parfois introuvables ou encore traités sur les médias traditionnels. Un expert du Journal du Net livre ses réflexions sur la montée en puissance de la consommation de vidéo en ligne via les réseaux sociaux.

lundi 28 novembre 2011

Les exhibitions narcissiques

Pour la génération qui a grandi dans un univers digitalisé, la culture ne sera jamais plus un simple bien de consommation. On échange les fichiers sur Internet, les télécharge et désormais, se les transfère par téléphone mobile. La culture de l’échange née par la mise à disposition des œuvres sur Internet se décline alors sous le mode de la transférabilité sur d’autres objets mobiles. [Lire la suite]

On en parle

Le quotidien 20 minutes, daté du 14 juin 2006, propose une sélection de questions-réponses issue d’un chat sur le happy slapping avec Serge Tisseron, psychiatre, psychanalyste, docteur en psychologie et enseignant à Paris VII.

Le happy slapping

Nouvelle incrimination pénale 
Auparavant, la jurisprudence se fondait sur l'infraction de violences volontaires pour poursuivre l'auteur d'agression et sur les infractions de non assistance à personne en danger et d'atteinte à la vie privée le fait d'enregistrer sciemment, par quelque moyen que ce soit, sur tout support que ce soit, des images relatives à la commission de ces infractions. Depuis la loi du 5 mars 2007 sur la prévention de la délinquance, le happy slapping et la diffusion de vidéo sont passibles de lourdes sanctions pénales.

samedi 26 novembre 2011

Success stories

France Télécom acquiert Dailymotion
France Télécom, qui a annoncé fin janvier l’acquisition de 49 % du capital du site de partage vidéo français Dailymotion (avec option à 100 % d’ici 2013), entend aller plus loin dans la vidéo sur mobile. Explications par un étudiant de l’Institut IREDIC d’Aix-en-Provence.

Google serait sur les rangs pour racheter Hulu
Le journal du Net informe que le moteur de recherche rejoindrait Yahoo et Microsoft dans la liste des candidats au rachat de la plate-forme vidéo Hulu.

jeudi 24 novembre 2011

En bref

Les sites de partage vidéo
Longtemps réservée aux professionnels de l’audiovisuel, la mise en ligne de vidéos est devenue en 2006 un phénomène de masse avec la possibilité pour chaque internaute de mettre sur le réseau ses propres vidéos très simplement via des sites de partage de contenus. Mais tous ne se valent pas en fonction de vos attentes et offrent des formats divers en fonction des supports sur lesquels la vidéo sera lue. Aussi, découvrez les principaux sites Web de partage vidéo sélectionnés par jeanviet.info pour faire votre choix en toute connaissance de cause. Moteur... ça tourne !

La VOD peine à trouver l’avance rapide
Les investisseurs de la VOD, barricadés derrière leurs ventes de DVD n’attendaient que le coup d’envoi d’Hadopi pour investir. Malgré les bons résultats du secteur en 2009, le marché reste quasi anecdotique en comparaison des 1,3 milliards d’euros du marché de la vidéo en France. Le point avec le journal 20 Minutes.

mardi 22 novembre 2011

La vidéo en ligne

Les audiences de la vidéo en ligne se déportent massivement vers les sites d’échanges de vidéos, tous en accès libre. Le cinéma est désormais confronté au même problème que la musique, à mesure que le haut débit et le très haut débit se banalisent. La technologie a fait sauter les dernières barrières qui a protégé au départ les producteurs et les ayants droit du piratage. [Lire la suite]

La vidéo à la demande sous contrôle

En France, où la chronologie des médias est séquencée et historiquement très étalée dans le temps, des aménagements ont dû être imaginés afin de soutenir l’essor de la VOD. Le 12 juillet 2009, l’arrêté pris en application de l'article 30-7 du code de l'industrie cinématographique entérinait une nouvelle chronologie des médias, c’est-à-dire l’ordre et les délais entre les différentes modalités d’exploitation et de diffusion d’une œuvre de cinéma après sa sortie en salle. Depuis, les films de cinéma sont commercialisés simultanément en DVD et VOD quatre mois après leur sortie en salle, contre six mois précédemment pour les DVD et sept mois et demi pour la vidéo à la demande. En revanche pour la VOD gratuite, il faut attendre quatre ans. Afin de voir un film gratuitement et rapidement, le piratage reste une alternative tentante, un reproche adressé par le SACD (Société des auteurs et compositeurs dramatiques) à l’accord sur la chronologie des médias.

dimanche 20 novembre 2011

On en parle

Un débat encore d’actualité
Nous assistons aujourd’hui à un véritable brouillage : supports et usages se séparent. La télévision peut se regarder sur l’ordinateur ou sur un portable, on peut téléphoner d’un ordinateur, aller sur Internet ou prendre des photos sur son téléphone,… les combinaisons semblent infinies ! En effet, les internautes détournent par leurs pratiques les fins que la technique était censée servir. Il en est ainsi du service d’échange vidéos YouTube, conçu initialement pour le partage de vidéos réalisées par les internautes. Sauf que YouTube s’est rapidement transformé en bourse d’échange de vidéos professionnelles, de concerts filmés à l’insu des artistes. Contraints de s’adapter à ces nouvelles pratiques en ligne, les gouvernements ont tenté soit de les légaliser en développant des partenariats entre ayant droit et sites d’échange de vidéo, soit de les condamner par des poursuites judiciaires sans fin, soit encore de le tourner en désuétude par un discours inquiet sur le financement de la création et la juste rémunération des auteurs. En France, la loi qui organise la lutte contre le téléchargement illégal est entrée en application au mois d’octobre 2010 avec l’ouverture par la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi).

samedi 19 novembre 2011

L'écoute sur mobile

Délinéarisation de la radio et de la TV
Le nombre de téléchargements de podcasts ont entraîné une délinéarisation de la radio. A cela s’ajoute le streaming dit "en différé", par rapport à l’antenne ou via des sites de partage comme Dailymotion. Même la TV trouve son prolongement dans le monde numérique avec le streaming "live", comprenez en direct. Le téléphone mobile participe au succès de la catch-up de solution qui consiste à rattraper des émissions déjà diffusées à l’antenne ou des bonus disponibles sur le Web ou l’Internet mobile. Selon une étude réalisée en 2010 par Hyperworld Marketing pour le compte du Bureau de la radio, montre que l’écoute de celle-ci sur mobile a doublé en deux ans pour atteindre plus de 13 % des utilisateurs. Forts de ce constat, les professionnels de la radio et d’Internet se sont réunis, à l’occasion de la première édition en France des « RENCONTRES RADIO 2.0 Paris », le 19 octobre dernier, pour se concerter sur le futur de la radio en ligne. A cette occasion, les premiers chiffres clés de la radio 2.0 seront présentés par Médiamétrie (évolution de l’audience et des comportements d’écoute).

jeudi 17 novembre 2011

L’engouement médiatique mobile

La diffusion de vidéos est aujourd’hui devenue un des usages majeurs d’Internet, symbolisé par le développement extrêmement rapide des sites de partages, de VOD ou de catch-up. Mais l’enthousiaste des internautes à l’égard des smartphomes a suscité un réel intérêt pour les médias mobile. Le téléphone mobile est en passe d’être le point de convergence de tous les médias, un dénominateur commun qu’aucune entreprise de presse, de télévision, de radio et de sites Web ne peut ignorer. [Lire la suite]

Mobile… Home

Des quatre écrans (cinéma, TV, ordinateur, mobile), s’il n’en fallait garder qu’un, ce serait celui du téléphone mobile. Ses capacités « anywhere, anytime, always on », associées aux technologies de géolocalisation, font de ce média (quasi universel) le meilleur outil pour s’informer en temps réel, où que l’on soit. Le GroupM-France et SFR-Régie ont publié leur 3e observatoire de l’Internet mobile en avril dernier. Cette étude souligne la croissance forte de cet usage en France, porté par le carton plein des smartphones. Ainsi, un possesseur de mobile sur deux possède un abonnement lui permettant de se connecter à Internet (contre 45% en 2010). Surtout, dans cette population, 26% ont souscrit à un abonnement illimité, soit une multiplication par 2,6 en deux ans (10% en 2009). En dehors de l'Internet et des applications, la vidéo est l'usage préféré des mobinautes : 81% des mobinautes utilisent la vidéo sur leur mobile, soit 9,2 millions d’individus. Les plates-formes type YouTube arrivent en tête (65%) devant la TV en direct (50%).

mardi 15 novembre 2011

La TV sur téléphone

La TV et vidéo sur 3G
Sans attendre la TV mobile personnelle (TMP), les mobinautes sont de plus en plus nombreux en France à regarder la TV sur leur téléphone portable. Si aujourd’hui tous les opérateurs mobile proposent des flux télévisés sur leur réseau 3G, la qualité de diffusion est relativement dégradée par rapport aux programmes TV, lesquels sont encodés et rediffusés en streaming ou en simulcast. Selon l’institut de mesure d’audiences en ligne ComScore, Video Metrix menée en avril dernier, l’Allemagne arrive en tête des pays européens (France, Allemagne, Italie, Russie, Espagne, Turquie et Royaume-Uni, à visionner le plus de vidéos en ligne. Dans une autre étude réalisée en juillet 2010, le nombre de consommateurs qui regardent des vidéos à partir de leur mobile augmente d’année en année, pour atteindre 12,1 millions d’utilisateurs dans les cinq principaux marchés européens, dont la France avec 2,5 millions, en croissance de 53 % sur un an.

dimanche 13 novembre 2011

En débat

TF1 veut mettre fin à la télé-réalité
Le 5 avril dernier, la Cour d'appel de Versailles a condamné TF1 à requalifier en contrats de travail classiques les participations de 56 candidats à la télé-réalité « L'Ile de la tentation ». Suite à cette affaire, le nouveau patron des programmes de TF1, Jean-François Lancelier, a des idées bien arrêtées sur l'avenir de la première chaîne. En effet, il préférerait mettre en avant les jeux et le cinéma, des rendez-vous familiaux plus fédérateurs. Cette information a été révélée par Le Point.fr.

Pour ou contre la télé-réalité ?
La télé-réalité est-elle le symbole d'une société décadente ? Le documentaire sur les dérives de la télévision, intitulé « Jusqu'où va la télé ?, le jeu de la mort » diffusé le 17 mars 2010 sur France 2, met exergue la soumission de l'homme face au pouvoir de la télévision. Edifiant de voir jusqu’où le pouvoir de la TV peut aller ! 

jeudi 10 novembre 2011

L’emprise télévisuelle

La réalité a toujours été le matériau de base de la télévision, et la capter n’était guère aisé quand de grosses caméras, des spots de lumière, des perches et des micros encombrants, des câbles envahissaient les lieux de tournages. Les évolutions technologiques ont concurrencé le genre documentaire et notamment les magazines, par la vague de la télé-réalité. Elle a envahi les médias télévisuels au point de menacer d’engloutir d’autres genres établis et parfois vieillissants. [Lire la suite]

mardi 8 novembre 2011

En bref

Le marché de la publicité vidéo pourrait doubler cette année 
Un an après sa création, la régie publicitaire AdVideum, spécialisée dans la vidéo revendique 10 % du marché français. Son fondateur, Julien Leroy explique au Journal du Net son positionnement et sa vision du marché.

Zoom sur l’audiovisuel de demain

SIMAVELEC  
De son côté, le Simavelec (Syndicat des industries de matériels audiovisuels électroniques) se demande comment définir, le plus tôt possible, de rééquilibrer les obligations légales pesant sur Internet et l'Audiovisuel. Pour le moment, il est clair le marché des services interactifs bénéficie de conditions plus favorables que les autres médias. Avec cette TV connectée, les acteurs de l'audiovisuel ont, selon le Simavelec, l'occasion de renouer avec l'ensemble du public, y compris les jeunes générations qui se tournent plus naturellement les médias interactifs, et d'inventer une nouvelle relation avec le public. Dans ses dossiers d’actualités, le syndicat publie une thématique sur le sujet, que je vous recommande afin de répondre aux questions sur cette fameuse TV connectée porteuse de tant de promesses. Zoom sur l’audiovisuel de demain.

Sondage

Quand la télévision surfe sur le Web
Réalisée en deux vagues auprès de 604 internautes représentatifs de la population française, une étude menée par GroupM révèle que la télévision ­connectée est désormais connue de 37 % des Français, contre 26 % l’an dernier. Par ailleurs, ces derniers utilisent déjà massivement les nouveaux services audiovisuels comme la télévision de rattrapage, les guides de programmes ou encore les services pratiques. 74 % d'entre eux le font via l'ordinateur, tandis que 42 % les utilisent via leur box ADSL. L'enquête est aussi rassurante pour le média télévision. En effet, 44 % des sondés estiment que la télévision connectée les amènera à consommer davantage l'écran du téléviseur au détriment de l'ordinateur. Cette information se révèle donc une opportunité pour le média télévision de reconquérir le jeune public réputé déserter le petit écran.

samedi 5 novembre 2011

Les médias audiovisuels

En observant ce qui s’est joué dans le passage de l’écrit à l’audiovisuel, de la diffusion du savoir à l’empire des émotions collectives, on mesure à quel point les mass-médias induisent des comportements et des représentations spécifiques. Dans le foisonnement des écrans, la télévision reste le principal canal de diffusion d’images et de production de sens, mais son monopole se fragilise. La révolution numérique va en faire la démonstration éclatante, et nous conduit à des interrogations nouvelles. [Lire la suite]

On en parle

Le secteur de la TV connectée
D'ici l’année prochaine, les TV connectées devraient représenter plus d'un quart du parc français, Constructeurs, portails et fournisseurs de contenus cherchent donc à se positionner au mieux sur ce marché naissant. Les contenus audiovisuels trouvent dans les supports numériques des champs nouveaux de diffusion, au delà des modes classiques de diffusion hertzienne, et des opportunités d’élargir leurs conditions d’accès à des publics attirés par des pratiques multimédia nouvelles dans lesquelles l’interactivité et la mobilité ont leur place. Pour 20 Minutes, Eric Scherer, directeur de la prospective chez France Télévisions, dévoile les tendances de la TV connectée.

Consultation publique sur les enjeux de la TV connectée

Le gouvernement a lancé une consultation publique à propos des enjeux de la télévision connectée. Il s'agit d'étudier l'impact de cette innovation sur l'économie de l'audiovisuel et de la communication électronique. Les axes de réflexion porteront sur les offres et services proposés, les modèles économiques, les modifications du paysage concurrentiel, la possibilité d'harmoniser les plateformes, etc.

mercredi 2 novembre 2011

Spectacle du monde

Au 19e siècle, les innovations scientifiques et techniques qui ont engendrée la révolution industrielle ont aussi concerné le domaine des médias. De ces innovations sont nés des moyens de communication totalement nouveaux, qui ont progressivement mis un terme au règne sans partage de l’écrit.

La photographie, fixe puis animée, donne naissance au cinématographe des frères Lumière. Son succès est rapide, l’offre génère la demande, la demande amplifie l’offre. A la fin de la Première Guerre mondiale, Hollywood est déjà le cœur de l’industrie cinématographique. Les premières expériences de télédiffusion d’images animées et sonorisées sont réalisées entre les deux guerres. Au début des années 50, la télévision prend son essor en tant que média de masse.

Le rappel de ces quelques dates permet de percevoir à quel point les inventions, l’exploitation et la diffusion des techniques de communication dans le grand public se sont accélérées, et à quelle vitesse les médias audiovisuels se sont imposés dans un univers jusqu’alors entièrement organisé autour des médias écrits.

Entre l’invention de l’imprimerie et le moment où il est devenu facile de se procurer un livre et de le lire grâce à l’alphabétisation de masse, il s’est écoulé quatre siècles et demi, du milieu du 15e siècle à la fin du 19e. Le cinéma et la radio se sont imposés en moins de trente ans (1895 à 1925) ; la télévision en une quinzaine d’années (1935 à 1950). Et le rythme se précipite encore pour les médias numériques avec la multiplication du nombre de vecteurs de diffusions (câble, satellite, ADSL, TNT).

Le développement technologique de l’audiovisuel sur téléphone portable (TV mobile personnelle, radio numérique, catch-up radio ou TV, …) sont aussi à saisir. Car la mise à disposition de vidéos sur Internet est devenue l'une des clés du développement des groupes audiovisuels mais également des opérateurs télécom sur le média Internet. La question de la valorisation de ces offres reste entière.

dimanche 30 octobre 2011

Question de mesures

L’audience de l’Internet mobile en France
Les mesures d’audience de l’Internet mobile ont fait leur tour application courant 2010 en France, d’abord chez OJD (Office national de justification de la diffusion) puis chez Médiamétrie. Après la Grande-Bretagne, la France est le second pays européen à publier de telles mesures d’audience mobile. Elle consacre le téléphone mobile comme un médias à part entière. Médiamétrie publie, pour le troisième trimestre, les audiences des sites, portails et applications consultés à partir d'un téléphone mobile en France. Les résultats obtenus par ce baromètre sont issus de la collecte exhaustive et anonymée des connexions (logs) de l’ensemble des téléphones mobiles sur les réseaux des trois opérateurs mobile présents en France (Bouygues Télécom, Orange et SFR), ainsi que d’un panel représentatif de 10 000 mobinautes pour qualifier le profil des visiteurs des sites et applications mesurés. De son côté, l’OJD, association française réunissant presse, annonceurs et publicitaires, a publié les résultats de la mesures de fréquentation des applications mobile sur le mois précédent.

vendredi 28 octobre 2011

Flasher l’info…

… en deux dimensions

Depuis quelques mois, de nouveaux codes-barre se sont généralisés permettent aux mobinautes d’accéder directement à des contenus bien identifiés sur l’Internet mobile en scannant un code imprimé en deux dimensions. Ces « flashcodes » établissent un lien entre le monde réel et le Web ou des applications, sans avoir à saisir l’URL sur le navigateur du mobile. Pour l’éditeur et le publicitaire, cela permet de respectivement orienter le mobinaute directement au contenu éditorial souhaité et de collecter au passage des données qualifiées sur le lecteur-consommateur. Composé de petits carrés noirs et blancs, ce code-barre 2D est une évolution directe du code-barre 1D utilisé sur les produits de grande consommation. Près de 70 % des Smartphone sont compatibles avec la solution flashcode. L’application est disponible sur l’AppStore et Android Market et est compatible avec les opérateurs mobiles : Orange, SFR, Bouygues Télécom.

mercredi 26 octobre 2011

Le contrôle de l'lnternet mobile

A l'instar de la publicité sur les sites Internet, la publicité sur mobile entraîne une mobilisation de tous les acteurs, soucieux de s'imposer comme intermédiaires entre l'utilisateur et l'annonceur, pour contrôler les audiences ou les solutions techniques de communication. [Lire la suite]

On en parle

Applications et services mobiles
Le succès de l'iPhone pour lequel Apple a répliqué dans l'univers mobile la stratégie développée dans l'univers de la musique avec le couplage iPod-iTunes révèle un nouveau marché de contenus et services sur mobile, où les mobinautes sont prêts à payer, suscitant toutes les convoitises, alors même que le modèle gratuit avec financement publicitaire ne permet pas de rentabiliser à lui seul la palette de services et contenus accessibles en ligne. Selon Juniper Research, le marché mondial des applications pour mobiles devrait générer 32 milliards de dollars d’ici 2015. Et selon un autre cabinet d’études américain, Chetan Sharma, ce marché mondial des « apps » devrait atteindre entre-temps 17,5 milliards de dollars d’ici 2012. Avec 50 milliards de téléchargements cette année-là, l’Internet mobile pourrait coiffer au poteau la navigation à partir d’un ordinateur !

A côté des applications mobiles, que les mobinautes acceptent aujourd'hui de payer sur l'iPhone, comme ils ont pu accepter de payer pour télécharger de la musique sur leur iPod, le marché de la publicité sur mobile et ses possibilités de géolocalisation et de personnalisation des annonces constituent un relais de croissance attendu sur le marché de l’Internet mobile. Reste à savoir si, sur le Web fixe comme sur le Web mobile, la publicité continuera, demain, à rester le principal moyen de financement des contenus et des services, ou si le modèle payant qui se développe sur l’Internet mobile viendra au contraire diversifier les sources de revenus des opérateurs, des éditeurs de services et des éditeurs de contenus en ligne. Le point avec le Journal du Net.

dimanche 23 octobre 2011

En librairie

La monétisation de l’information
D’après une étude du cabinet KPMG, paru en septembre 2010, en France 16 % des consommateurs disent utiliser leur mobile pour leurs transactions bancaires et 11 % pour leurs achats en ligne. Quoi qu’il en soit, il existe trois façons de générer des revenus sur le média mobile d’après l’AFMM :
- la vente de contenus premium au sein d’un site ou d’une application téléchargeable de modèle freemium,
- la vente d’une application mobile via une boutique d’applications (App Store d’Apple, Ovistore de Nokia, Android Market de Google, …),
- le m-commerce comme canal de vente et de paiement des produits et services sur mobile simplifiés et sécurisés.

Sur ce point, je recommande la lecture d’un ouvrage de Pascal Bonnamour et Ludivine Garnaud sous le titre « Monétiser l’information sur le web, les modèles économiques gagnants » aux éditions CFPJ.

samedi 22 octobre 2011

Le paiement par mobile

Le leader historique Paypal, qui revendique aujourd'hui quelque 230 millions de compte client à travers le monde, doit faire face à une concurrence de plus en plus soutenue, qu'il s'agisse de Buyster ou d'un nouveau venu, Kwixo.

La solution Buyster
Orange, SFR, Bouygues Telecom et Atos Origin ont créé conjointement un nouveau dispositif de paiement baptisé « Buyster », qu’ils présentent comme le système de paiement le plus sûr, le plus pratique et le adapté aux nouveaux usages de l’Internet. Ce service de paiement sécurisé sur Internet via téléphone mobile Buyster est opérationnel depuis le 13 septembre. L’internaute crée au préalable son compte, y associe ses coordonnées bancaires à son numéro de téléphone mobile, le tout protégé par un code confidentiel à 6 chiffres. Deux solutions s’offrent alors : payer sur le Net en entrant son numéro de téléphone ou payer via l’application mobile du site marchand. Dans les deux cas, fini les coordonnées bancaires en vadrouille sur la Toile. Une demi-douzaine d’enseignes accueillent Buyster pour son démarrage, et plusieurs dizaines devraient les rejoindre dans les semaines à venir.

La solution Kwixo
Par le biais de sa filiale Fia-net, la banque du Crédit Agricole a lancé en juin dernier le service Kwixo, qui sert à régler ses achats en ligne, mais aussi à effectuer des transferts d’argent entre particuliers. Pour utiliser le service, il n’est pas nécessaire de disposer d’un compte bancaire auprès de la banque. Les iPhone ont droit à leur application, qui permet de gérer toutes les transactions depuis le terminal.  Pour les autres smartphones,  toutes ces fonctions sont accessibles depuis le site mobile Kwixo. Enfin, pour ceux qui n’ont pas accès à l’Internet mobile, il est possible d’envoyer de l’argent à un proche par le biais d’un simple SMS ou en appelant un serveur vocal sécurisé.

On en parle

Comment les marques s'appuient sur la géolocalisation
Déjà très développé aux Etats-Unis, le marketing géolocalisé arrive en France par petites touches. Voici une sélection par le Journal du net des stratégies marketing qui ont marqué ses débuts Outre-Atlantique.


Facebook lance Deals en Europe et au Canada
Après son lancement aux Etats-Unis, le service de couponing géolocalisé de Facebook baptisé "Deals", ou "Bons Plans", est lancé depuis février dernier en Europe et au Canada. En France, le site affiche déjà plus de 20 millions de membres actifs ! Venez le découvrir !

mercredi 19 octobre 2011

Un outil de gestion de la relation client

Le téléphone mobile est un objet personnel sécurisé grâce à sa carte SIM. Aux campagnes ciblées de SMS, idéales comme outil de gestion de la relation client, pourront se superposer des campagnes interactives profitant de la mobilité du support de réception et des possibilités de géolocalisation de son utilisateur. [Lire la suite]

lundi 17 octobre 2011

Un marché d'avenir

L'Internet mobile, un marché de 1,2 milliards d'euros
Nouvel eldorado de l'e-Business, l'Internet Mobile explose auprès du grand public, dans la foulée de l'iPhone. Les services mobiles pourraient atteindre les 2 milliards d'ici 2013. Le point sur le secteur avec le Journal du Net.

L'avenir vu par les professionnels
Quels acteurs vont s'emparer du mobile pour leur marketing ? Quels modèles économiques vont se développer sur mobile ? Une étude de Netsize, analysée par Journal du Net, dessine le futur du marketing mobile. 

samedi 15 octobre 2011

Le nouvel eldorado d'lnternet

La publicité sur l'Internet mobile semble être le nouvel eldorado des régies en ligne. Tous les acteurs se mobilisent pour être demain au centre du nouveau Web, celui qui passera par les smartphones, ces téléphones intelligents et multimédias disposant d'une connexion de qualité à Internet. L'enjeu est stratégique, car l'accès Internet par le téléphone mobile multimédia dépassera rapidement l'accès Internet depuis un PC. Il permettra d'augmenter considérablement le nombre d'internautes dans le monde. [Lire la suite]

Étude et Analyse

Les nouveaux usages du mobile et leurs impacts sur la marque (2010)
Iphone, Blackberry, Smartphone : le mobile est devenu le couteau suisse des temps modernes. Il redéfinit les usages et crée une nouvelle ethnie de « mobinautes ». Cette étude qualitative, réalisée par l’Observatoire de la communication et des médias, analyse en profondeur les nouveaux usages du mobile, et notamment de l’Iphone. Elle identifie les comportements d’utilisation et les rapports entre les usagers et l’objet. Elle étudie enfin la place et le rôle des marques dans cette évolution.

L’explosion de l’Internet mobile
L’Association française du multimédia mobile (AFMM) dresse depuis 2006 un état des usages de l’Internet mobile et des comportements des mobinautes. Fondée par les trois opérateurs mobile français (Orange, Bouygues et SFR), le Geste et l’Ascel, elle organise des Ateliers du multimédia mobile. Ces rencontres avec des entreprises, qui ont un besoin d’information sur le média mobile et des experts du mobile, font l’objet de comptes-rendus qui montrent que l’Internet mobile est désormais couramment utilisé avec un équipement mobile multimédia en forte progression.

Seniors, on en parle

L’indépendance de la dépendance

En lien avec le thème précédent : Seniors et TIC, un billet du Directeur Général Ascom France (groupe bernois spécialisé dans les systèmes de communication) convaincu de l'utilisation des technologies de l’information et de la communication mobile au sein des maisons de retraite afin de palier au manque de personnels soignant et aidant. Quelles sont les technologies qui sont les plus propices à une amélioration de l’équation économique de la dépendance ? Quelles sont les plus matures sur lesquelles vont devoir se reposer les services des personnes âgées de demain ? Réponses.

mardi 11 octobre 2011

Connecter les citoyens

Les villes inventent des cyberespaces urbains
Toulouse dote ses agents de voirie de smartphone pour mieux gérer ses espaces publics, Nice équipe ses abribus de code-barres pour donner des informations de parcours et d'horaires, Rennes présente à ses habitants les projets d'aménagements urbains en 3D, sur écran tactile ou par jeu vidéo. Les villes s'emploient désormais à connecter les citoyens pour créer de nouvelles pratiques urbaines intelligentes. (La Gazette des Communes)

dimanche 9 octobre 2011

L’accès mobile du réseau Internet

Pour répondre aux nouveaux besoins capitalistes et en vertu des législations Internationales, l’État français va poser un objectif fondamental de diversification des technologies d’accès à Internet. [Lire la suite]

Assises gouvernementales de la RFID

Les premières Assises nationales de la RFID, tenues à Bercy en 2010, ont été l’occasion de débattre des multiples facettes de cette technologie et de ses usages. L’édition 2011 a poursuivi cette dynamique d’échanges dans la recherche du meilleur équilibre possible entre technologie et social. Eric Besson est intervenu lors de ces assises et a rappelé les objectifs du Gouvernement en la matière.


L’invasion des mouchards électroniques

Ecrit en janvier 2007 par Nicolas Bonanni, berger intermittent, ce texte questionne la mise en place de l’identification électronique par la radio-fréquence lisible à distance (RFID) dans tous les objets du quotidien. Implantées dans les papiers d’identité, les cartes sans contact (transports, badges, etc.), les produits manufacturés, les livres des bibliothèques, les véhicules, le bétail et déjà des êtres humains, elles assurent à l’industrie et à l’Etat les moyens d’une gestion rationnelle totale de la vie sociale, placée sous monitoring informatique et sous surveillance électronique. Près de la moitié des modèles de téléphones mobiles intègre déjà la radio-lecture. Mais cet article révèle aussi une autre utilisation future en France et déjà utilisée aux Etats-Unis portant sur un « dossier médical » implanté dans le bras des patients.

samedi 8 octobre 2011

Téléphonie 4G

Lancement d’une plate-forme d’expérimentation à Brest
Le ministre de l'Industrie Eric Besson a annoncé mardi 4 octobre 2011 le lancement à Brest d'une plate-forme d'expérimentation des services de téléphonie mobile 4G, à très haut débit, dont les fréquences sont actuellement en cours d'attribution. En revanche, l'aspect sanitaire et notamment les conséquences de l'exposition aux ondes des populations riveraines n'est pas du tout abordé. Le point avec la Gazette des Communes.

jeudi 6 octobre 2011

Smartphone

service-public.fr en version mobile
La ministre du Budget, Valérie Pécresse a annoncé le 26 septembre 2011, le lancement en version mobile sur m.service-public.fr du site officiel de l'administration service-public.fr est disponible. L'objectif est de fournir une version adaptée du site pour une consultation depuis des téléphones mobiles de type "smartphone". Cette application est un nouveau moyen d'accéder aux démarches administratives et doit permettre de compléter la "culture du guichet" par une "culture de l'écran", a justifié la ministre. Elle a aussi évoqué la création d’un système de messagerie instantanée pour aider l’usager en ligne, la création d’un système d’alerte sur mobile "pour rappeler par exemple que la date limite de telle formalité approche", ou encore la possibilité de présenter des pièces justificatives (factures EDF ou autres), via un téléphone mobile grâce à un système de flashcode. Présentation.

mercredi 5 octobre 2011

Révolution de la mobilité

L’évolution de notre mode de vie ainsi que notre manière de travailler nous conduits à être de plus en plus mobiles. Cette mobilité consiste à rester connecté à son système d’information en permanence et à tout moment. Cette révolution de la mobilité touche aussi bien le monde de l’entreprise que celui de la famille. [Lire la suite]

Avis d'experts

Le Full Web : l’allié de la mobilité
Les applications full Web permettent à tout un chacun de travailler dans les mêmes conditions qu'en mode sédentaire. Messagerie vocale unique, portail de gestion et visualisation des états de présence ou encore bascule d'une communication mobile vers le fixe et vice-versa, assurent la productivité des salariés en mobilité. Dans une tribune dans le Journal du Net, Luc Hallion, Directeur du Développement chez Mitel Networks, livre les avantages d'une application full Web.

En bref

10 usages du téléphone mobile de demain
Payer ses achats, réserver une place de parking, s'en servir comme titre de transport ou comme guide dans un musée. Découvrez tous les usages possibles grâce au Journal du Net.


L'Internet mobile se répand
Alors que deux Français sur trois déclarent aujourd’hui être connectés chez eux à Internet, selon une étude publiée par l’Insee, un nouveau mode de connexion au Web avance à vitesse grand V : l’Internet mobile. L’étude révèle ainsi que près de 40 % des internautes l’utilisent aujourd’hui, soit deux fois plus qu’il y a deux ans. Décryptage avec le journal gratuit Direct_Matin.

lundi 3 octobre 2011

Chiffres clés du marché français de la téléphonie mobile 2010

Dans le cadre de son Observatoire économique, l'AFOM (Fédération Française des Télécoms) publie un document de 4 pages proposant les principaux chiffres clés du marché français de la téléphonie mobile en 2010. Cette étude montre que les 12-24 ans et les 25-39 ans sont davantage équipés que les plus de 40 ans. Tandis que 25 % des Français équipés d’un mobile à titre professionnel utilisent désormais un Smartphone, contre 12 % en 2009.

dimanche 2 octobre 2011

Vers l’Internet mobile

En 10 ans, les technologies de l’information et des communications ont fait un bond impressionnant. Du côté de la téléphonie mobile, la première génération, analogique, a fait place à la deuxième, numérique, et finalement à la troisième. La quatrième est en route. Une constatation : Internet de demain sera mobile. Non seulement les terminaux comme les Smartphone, iPhone et iPad sont disponibles, mais les outils et leurs usages associés évoluent à grande vitesse. Sans compter les choix économiques et techniques.

Aux moteurs de recherche et aux portails généralistes des fournisseurs d’accès, auxquels on accède essentiellement depuis son ordinateur personnel se substituera à terme un Internet mobile et personnalisé, du fait à la fois des possibilités d’identification de l’internaute, repéré grâce à son numéro de téléphone et des possibilités de géolocalisation des réseaux de téléphonie cellulaire. Les activités possibles sont étendues : parler, écrire, capturer, envoyer, entendre et voir.

La mobilité, en permettant à chacun de se connecter de n’importe où et à n’importe quel moment, se doublera d’une logique de communication permanente, faisant entrer l’internaute dans l’ère de l’accès permanent. La différence est déjà sensible entre la génération Y, celle des jeunes adultes, et les enfants ou jeunes adolescents.

Alors, le Web mobile est-il l’avenir du Web ? Certainement, de par sa prééminence et sa capacité à se faufiler partout. L’homme, en ayant au creux de sa main un bijou de la technologie qui fait non seulement téléphone et messagerie mais aussi média et multimédia, est devenu un « mobile sapiens ». Il est grand temps que la presse, la télévision et la radio traditionnelles considèrent le téléphone portable comme stratégique pour ne pas laisser les seuls acteurs du Web se l’approprier.

Groupe de travail "Mobile Sans Contact"

Le gouvernement a lancé, fin mai, l'appel à projets "Mobile Sans Contact" financé par les Investissements d’avenir et dédié aux services sans contact mobiles. Cet appel à projets, doté de 20 millions d’euros, vise à franchir une étape décisive dans le déploiement de services mobiles sans contacts NFC (Near Field Communication) insérés dans les téléphones portables et portés par de grandes agglomérations. Il est ouvert jusqu’au 14 octobre 2011. Si cette technologie est déjà utilisée en Corée du Sud, au Japon, en Malaisie ou encore en Autriche, en France on expérimente cette technologie à Strasbourg, Caen, Nice et Issy-les-Moulineaux. Cette technologie permet, par exemple, de payer avec son mobile en approchant l’approchant d’un terminal de paiement pour que la transaction se fasse sans connexion physique.


Les villes à l’heure du numérique

Plusieurs expérimentations ont été menées avec la RATP lors de campagnes de marketing mobile. La première en 2006, a permis de satisfaire une demande des Parisiens, qui passent 45 minutes par jour dans les transports en communs, de bénéficier sur leur téléphone mobile de programmes audiovisuels, avec, pour ces clients, le sentiment de ne pas perdre leur temps dans ce mode de transports. Puis, non négligeable pour les publicitaires, la capacité de cibler les consommateurs avec précision par la localisation du consommateur sur les lieux, l’ajout de caméras aux affiches du métro a permis de déterminer si le passant regarde l’affiche, à quel endroit il la regarde et pendant combien de temps. Aujourd’hui, une autre expérimentation vise à intégrer le « Pass Navigo » dans les téléphones mobiles. Mais la capitale n’est pas la seule ville à voir le déploiement des technologies numériques applicables aux téléphones mobiles de dernière génération. La Caisse des dépôts a en effet révélé les résultats de l’appel à déclaration d’intention dédié à la ville numérique et au déploiement des technologies NFC.

vendredi 30 septembre 2011

L'exclusion numérique des seniors ?

Avec l'explosion du matériel et du contenu multimédia, on peut se poser la question de l'égalité des français en matière d'équipement numérique. Toutes les catégories de la population sont elles à la même enseigne ? Qu'en est-il des seniors ? Et s'il y a "fossé", pour quelles raisons et quelles sont les propositions d'actions ? Réponse avec le résumé du rapport "Le fossé numérique en France" par le Centre d'Analyse Stratégique.

jeudi 29 septembre 2011

Les enjeux pour demain

Dans les sociétés où transmettre de génération en génération une culture et des traditions était une fonction valorisante, les anciens bénéficiaient de la considération et du respect du à leur âge et à leur expérience. Aujourd’hui, l’innovation et le renouvellement permanent étant la loi, on ne les entend plus. [Lire la suite]

Accompagner l’accès à Internet et aux TIC

Les Espaces publics numériques
Les aînés qui veulent s’initier à Internet peuvent prendre des cours à prix modique dans les Espaces publics numériques (EPN) mis à leur disposition par l’Etat et les collectivités locales, dans toute la France. La liste de ces espaces dédiés à cette activité est disponible sur http://www.netpublic.fr.

Des seniors branchés avec PING
L’association PING
, créée en 2004 dans le quartier du Breil à Nantes, centre son activité sur les aspects sociaux et culturels du numérique en accompagnant et en impulsant des initiatives dans le domaine. Entres autres, l’association nantaise propose des ateliers "Seniors, TIC & Créativité" pour faire découvrir, aux personnes de plus de 60 ans, Internet et les nouvelles technologies sous l’angle d’une expression créative et artistique. Comme une petite révolution, cette association a démontré qu’à tout âge il est possible que la créativité numérique nous touche et devienne un territoire d’expressions nouvelles.

lundi 26 septembre 2011

Seniors et TIC

Zoom sur le blog « Les seniors dans l'environnement numérique », dédié aux approches pédagogiques des TIC adaptées aux seniors. Malgré la pertinence des informations, ce blog n’est plus tenu à jour, mais ce celui-ci reste un recueil de méthodes pédagogiques et de réflexion sur ce thème. A découvrir !

Geek

Médias sociaux

Ce n'est seulement que depuis 2006 que le réseau social Facebook est ouvert au grand public. En trois ans et demi, il est devenu le deuxième site le plus visité derrière Google. Avec 400 millions de membres à travers la planète dont 15 millions en France, il est le premier réseau social au monde. Même auprès des baby-boomers, il fait un tabac. Les chiffres clés en trois points.

Selon une expérience lancée par les ministères de la Recherche et de l’Industrie, l’iPad serait d’un apprentissage plus simple qu’un ordinateur classique pour les plus de 60 ans. Aujourd’hui, ces derniers participent aussi aux réseaux sociaux.

samedi 24 septembre 2011

Un phénomène de génération

Toutes les générations sont polarisées sur le présent, en connexion permanente avec l’instant grâce aux nouvelles technologies. Dans les usages des TIC et notamment de l’ordinateur, les seniors rattrapent leur retard sur les juniors en matière de fréquentation et d’usage de l’Internet. [Lire la suite]

Intergénération

Les TIC transforment les relations entre grands-parents et petits-enfants adolescents

Les technologies de l’information-communication (TIC) transforment les relations entre grands-parents et petits-enfants adolescents. Le site Accordages révèle qu’elles permettent de garder un lien à distance comme d’échanger davantage sur l’intime.

mercredi 21 septembre 2011

Etude

Les Seniors et Internet
Après avoir lu cette étude, réalisée par Senior Strategic (premier réseau d'études et d'experts du marché des seniors), vous connaîtrez les attentes des seniors sur Internet, les actions importantes pour les cibler, les éléments indispensables dans le développement d'un site et d'autres informations capitales.

Les seniors et les médias

30 % des Français sont âgés de plus de 50 ans. Sur 61 millions d'habitants, l'Hexagone compte ainsi plus de 19 millions de seniors. Selon l’enquête du ministère de la Culture et de la Communication sur le comportement d'achat des Baby-boomers sur le marché des médias, on peut noter :
                                               
Presse
Les seniors sont les champions de l’abonnement aux journaux, revues et magazines avec une moyenne de 38 % et un pic de 44 % chez les hommes de plus de 65 ans.

Radio
25 % des femmes de plus de 65 ans écoutent la radio plus de trois heures par jour, surtout le matin. Leurs stations préférées sont Radio Bleue, France Musique, Radio Classique, France Culture et France Inter.

Télévision
42 % des plus de 65 ans déclarent regarder la télévision plus de quatre heures par jour. Précisons que les femmes la regardent plus que les hommes : 46 % contre 37 %. Les émissions les plus regardées sont les magazines, les jeux de connaissance, les retransmissions sportives, les journaux télévisés et la météo. Les 70 ans et plus manifestent un intérêt particulier pour les retransmissions de grands évènements, les séries policières étrangères, les jeux et les magazines historiques. Les chaînes préférées de cette population sont Arte, La Cinquième, France 2 et surtout France 3.

Cinéma
La pratique cinématographique des seniors a largement progressé depuis 20 ans : il est passé de 13,9 % de la population en 1975 à 28,9 % en 2002. Les seniors sont par ailleurs devenus de plus en plus assidus : ils sont 4,2 % à aller au cinéma au moins une fois par semaine, taux identique à celui de la moyenne des français.

Internet
Un internaute sur quatre est un senior. Les trois-quarts de ces internautes ont moins de 65 ans. Ceci signifie que les boomers sont autant connectés que leurs cadets. Ils achètent autant en ligne qu'eux. Les plus de 65 ans sont désormais le public de conquête du Net.

Source : Senior Book Marketing de la Secodip

samedi 17 septembre 2011

Enquête

Les silver-surfers poursuivent leur conquête du web

Les "silver-surfers", les internautes de plus de 50 ans, sont de plus en plus nombreux sur le net et représentent aujourd'hui plus de 30% des usagers en France, selon l'Observatoire des usages internet de Médiamétrie qui a publié jeudi 4 août son baromètre pour le 2e trimestre 2011. Les sexagénaires de plus de 65 ans forment une grande partie de ces nouveaux reliés à la toile puisqu'"en un an, près d'un million de personnes supplémentaires de cette tranche d'âge se sont connectées", rapporte Médiamétrie.